Cet article… décrit un travail qui s’est poursuivi pendant deux ans, et qui a concerné deux terminales C et une première S. Il s’agissait, sans augmenter la charge de travail de l’enseignant, de diminuer le temps consacré aux corrections de copies, et de réinvestir le temps ainsi gagné en organisant pour les élèves qui le souhaitaient, des ateliers sur différents thèmes :
– Atelier 1 : Le vécu d’un devoir surveillé, d’un examen
– Atelier 2 : Rédaction
– Atelier 3 : Apprendre à chercher en géométrie
– Atelier 4 : La pratique du problème ouvert
– Atelier 5 : Mieux connaître et mieux utiliser deux outils très féconds en analyse (la composition et décomposition d’applications; l’outil graphique)
– Atelier 6 : L’expérience « 1000 classes, 1000 chercheurs »
– Atelier 7 : Jeux mathématiques
– Atelier 8 : Ouvertures (Art et mathématiques, etc.)

Selon les thèmes abordés, ces ateliers étaient soit un complément au travail fait en classe, soit une ouverture sur des sujets que la préparation du bac ne laisse pas toujours le temps d’aborder en cours, mais qui peuvent renforcer chez certains élèves le goût de faire des mathématiques.

L’article est composé des rubriques suivantes :
1. Le temps de correction – Autant de temps passé devant les copies que devant les élèves
2. Recherche d’une autre organisation du temps – Un travail que l’on fait pour soi rend inutile la copie du travail d’un camarade
3. Quelques pistes, parmi beaucoup d’autres, pour réinvestir le temps gagné – Un contact plus personnel avec chaque élève – Des ateliers qui complètent, par une approche différente, le travail fait en classe